Wilfrid Magnier, Florian Presse, Julie Magnier
Notre travail en protection de l’enfance au sein du centre Benoît Labre [1], nous a amené à exercer auprès de familles à transactions violentes. Les nombreuses contraintes externes au processus thérapeutique, notamment liées à l’institution, nous ont appris à assouplir le cadre de la consultation et à inventer un objet flottant : le génogramme dit 3D. Un cas clinique issu de notre pratique illustrera l’utilisation de l’outil génogramme. Nous discuterons enfin des implications du génogramme 3D au regard des travaux de Cirillo, Mugnier et Caillé.